Une rage folle animait l’alien jaune tandis qu’elle évaluait ses chances de survie. Un sourire moqueur apparut sur le visage de William. Il avait compris qu’elle avait mal mesuré ses forces. Ses adversaires restants étaient plus nombreux et plus tenaces qu’elle ne l’avait crus. Mu par une soif de vengeance, le scientifique était parvenu à récupérer un modeste Beretta. « Ça va suffire... »Tant qu’il pouvait lui coller deux ou trois balles avant d’en finir avec ce monde, ça lui suffisait. Avec les mercenaires dissimulés, la victoire était presque assurée. Cependant, l’Anglais avait à nouveau sous-estimé la perfidie de l’ennemi. Entourée d’un énorme serpent jaune, l’envahisseuse fit exploser sa construction magique, provoquant par cette occasion un puissant éclat lumineux. « Raaah ! ». Ses mains, alourdies par le poids du pistolet, avaient été trop lentes pour le protéger du flash.
William, aveuglé, poussa un juron puis tenta de se repérer autour de lui. Cette tentative de voir quelque chose autour de lui, lui avait probablement sauvé la vie, car il vit presque au dernier moment l’un des molosses jaunes lui arriver dessus. « Vous ne m’aurez pas ! » Le non-combattant se jeta sur le côté, échappant aux crocs de la bête qui continua sa route. N’arrivant pas à voir autour de lui, William, qui n’arrivait pas à contenir sa grande gueule, s’adressa à l’Alien Jaune. « Je vous somme de quitter cette planète tant que vous le pouvez encore ! Nous sommes plus nombreux et plus armés ! Fuyez tant que vous le pouvez encore ! Si vous ne voulez pas finir en charpie ! »
Après cette intimidation verbale, William posa un genou à terre. La fatigue et la douleur le rattrapaient. Combien de temps ce combat allait-il encore durer ? Rampant au sol, il tenta de se dissimuler, tant bien que mal.
William, aveuglé, poussa un juron puis tenta de se repérer autour de lui. Cette tentative de voir quelque chose autour de lui, lui avait probablement sauvé la vie, car il vit presque au dernier moment l’un des molosses jaunes lui arriver dessus. « Vous ne m’aurez pas ! » Le non-combattant se jeta sur le côté, échappant aux crocs de la bête qui continua sa route. N’arrivant pas à voir autour de lui, William, qui n’arrivait pas à contenir sa grande gueule, s’adressa à l’Alien Jaune. « Je vous somme de quitter cette planète tant que vous le pouvez encore ! Nous sommes plus nombreux et plus armés ! Fuyez tant que vous le pouvez encore ! Si vous ne voulez pas finir en charpie ! »
Après cette intimidation verbale, William posa un genou à terre. La fatigue et la douleur le rattrapaient. Combien de temps ce combat allait-il encore durer ? Rampant au sol, il tenta de se dissimuler, tant bien que mal.
- Récap: